Et le bonheur sera sa voie
Et le bonheur sera sa voie Nul ne pourra trop lui dire où elle marchait Seule perdue dans ses pensées Elle souriait La douceur du temps qui passe et qui enlace Elle devinait Les longs sanglots et les rivages Qui s’éloignaient L’azur avec grâce resplendissait comme un sourire qui la portait Un fétu de paille …